L'actu du Stade

Bon ben comme tout forum toulousain qui se respecte, un petit coin pour le Stade....

Ce we c le gros choc contre ces blair... de parisiens. Vos pronostics ???

Moi je vois bien noves faire tourner l'effectif et toulouse se prendre une bonne roust ecomme chaque année....

j'espere qu'ils joueront à fond, on va se les farcir les parigots

Que noves t'entendes ....

en même temps s'ils font comme il est prévu une dizaine de changements dans l'équipe, ça peut mettre comme titulaires poux, fiorini, lacombe,pelous, brennan, mac cullen, bouilhou,maka, dubois, elissalde, clerc, heymans,medard, garba, mermoz ......
Ca peut tenir la route.....
Mais qu'est ce que j'aimerais que les parisiens bouffent leurs drapeaux à la fin du match....

allez 8 journées 8 victoires que cela continue...

Ricard a écrit:

allez 8 journées 8 victoires que cela continue...

Toute bonne chose a une fin....Prenons un point de bonus, ce sera déjà pas mal...

Non il faut jouer la victoire bourgoin n'est pas loin...

Ricard a écrit:

Non il faut jouer la victoire bourgoin n'est pas loin...

Il faut viser la 4ème place.... Premier ou Quatrième ça chnage rien...

Citation :

Top 14 : Le programme du karaoké géant organisé au Stade de France
12 octobre 2005 - 18 h 23 -

Une heure avant le coup d'envoi du choc des Stades samedi au Stade de France, un karaoké géant sera organisé avec des standars tels que « On ira tous au Paradis », « Emmenez-moi », « Captain Flamme » et bien d'autres. A la mi-temps, une seule chanson avec « Les Champs-Elysées » créé par Jo Dassin.

Le communiqué du Stade Français :

Le rugby est un sport de convivialité. Comme cela se fait parfois dans les stades de rugby en Irlande ou en Ecosse, nous avons voulu donner au public la possibilité de chanter dans le stade par le biais de ce qu’on peut définir comme un « Karaoké géant ».

Plus précisément, et à compter d’une heure avant le coup d’envoi, les play-back orchestre des chansons choisies (voir liste ci-dessous) et les paroles s’afficheront simultanément, ligne par ligne, sur les écrans géants du Stade de France. Cela permettra à ceux qui en ont envie de chanter à l’unisson.
Le Karaoké ne sera pas non-stop. A la mi-temps, après une deuxième exhibition des pom-pom girls, il y aura une dernière chanson-Karaoké : « Les Champs-Elysées » créé par Jo Dassin.

Voici les titres dont les play-back orchestre et paroles seront proposés au public :
- « On ira tous au Paradis » (Michel Polnareff)
- « Désenchantée » (Mylène Farmer)
- « Les démons de minuit » (Image)
- « Le chasseur » (Michel Delpeche)
- « Emmenez-moi » (Charles Aznavour)
- « La belle histoire » (Michel Fugain)
- « En chantant » (Michel Sardou)
- « Captain Flamme » (la chanson du dessin animé Captain Flamme)
- « Les restos du cœur » (La chanson des Restos du cœur)
- « Partenaire Particulier » (Partenaire Particulier)

JFP (Avec www.stade.fr)

C'est vraiment à mourir de rire Il sait plus quoi inventer le père Guazzini Et lui qui se targue de promouvoir l'esprit du rugby

ouaip, mais ça peut être sympa dans un stade...et puis, certains forumers étaient près à faire de même il y a peu au stadium avec "toulouse" de Nougaro

hasdrubald a écrit:

ouaip, mais ça peut être sympa dans un stade...et puis, certains forumers étaient près à faire de même il y a peu au stadium avec "toulouse" de Nougaro

ce qui me fait mal au coeur c'est que grace à cette affiche, Paris va se faire une recette énorme (j'ai lu des sommes égales au quart du budget de narbonne!!) et en profiter va recruter de nouveaux internationaux italiens, argentins,....
Ca m'énerve!!

Le stade français ne depassera JAMAIS le stade toulousaing!

vins31 a écrit:

Le stade français ne depassera JAMAIS le stade toulousaing!

Evidemment...

TOP 14. LE PILIER INTERNATIONAL ÉVOQUE SON RETOUR ET LA RENCONTRE AU STADE DE FRANCE, SAMEDI.

Jean-Baptiste Poux : «Tous les yeux braqués sur nous»


Le pilier toulousain a joué dimanche, à Ernest-Wallon, contre Biarritz son premier match de la saison une semaine après avoir repris la compétition avec l'équipe espoirs. Jusque-là, Jean-Baptiste Poux était cloué à l'infirmerie depuis la fin de la saison dernière en raison d'une pubalgie.

Physiquement, comment avez-vous digéré vos 53 minutes de jeu (Ndlr : il a été remplacé par Gregory Menkarska) ?

« Je n'ai pas ressenti trop de douleurs. Juste des douleurs normales de reprise. En ce qui concerne le rythme, cela allait. C'était surtout au niveau de la puissance et du combat que c'était difficile. Je n'avais pas encore les jambes pour tenir tout le match. Mais je sais que cela ne va pas revenir tout de suite.»

Comment se sont déroulés vos quatre mois sans jouer ?

« Il y a eu un mois de repos total avec quelques exercices de vélo. Ensuite des abdos, de la marche. J'ai tout le temps fait quelque chose. Après, il y avait des degrés de difficulté dans les exercices pour évoluer au fur et à mesure. Puis, j'ai repris avec la course puis des petites parties d'entraînements. »

Comment expliquez-vous cette pubalgie ?

« Pour moi, ce n'est pas arrivé à propos d'appuis. C'est arrivé sur la fatigue en fin de saison dernière. C'est venu sur des entraînements répétés, sur une semaine où j'ai fait des exercices qui ont déclenché la pubalgie. Des exercices d'abdominaux qui m'ont causé une surcharge de fatigue en plus des entraînements. Ce qui fait que cela s'est déclenché au moment de la finale de la Coupe d'Europe. »

C'est bien de rentrer dans un groupe qui ne fait que gagner depuis le début de la saison…

« Je suis soulagé parce que je ne voulais pas être le chat noir de l'équipe (rires). Plus sérieusement, il n'y a pas de secret, c'est un groupe sérieux et, même si on a connu quelques difficultés, avec de la rigueur, on a réussi à faire un bon début de saison. Cette année, il y a encore plus de concurrence que les autres années. Cela pousse le groupe vers l'avant et cela permet de se reposer également. »

Et vous êtes déjà au Stade de France samedi.

« Cette rencontre, c'est un événement qui fait que tous les yeux seront braqués sur nous. C'est une journée de fête. Il faudra montrer le meilleur visage du Stade. Et pour moi, cela tombe bien car j'ai besoin de temps de jeu. »

LES STADES DE FRANCE
Par Aymeric MARCHAL

Le Top 14 s'apprête à remplir le Stade de France pour le choc entre le Stade Français et Toulouse, une première pour un match de championnat, tous sports confondus. Le rugby a franchi un palier médiatique, reste à s'en montrer digne sportivement. La 9e journée offre aussi un autre choc entre Biarritz et Bourgoin et une belle affiche entre Castres et Clermont. Perpignan reçoit Pau alors que Toulon poursuit son opération maintien contre Montpellier.


Le rugby, roi de France

Ce samedi 15 octobre va entrer dans l'histoire du sport français. En remplissant le Stade de France pour la rencontre entre le Stade Français et le Stade Toulousain, le rugby va battre le record de spectateurs pour un match de championnat, loin devant son cousin du ballon rond. Le microcosme de l'ovalie en rêvait, Max Guazzini l'a fait. Le rugby fait mieux que le football, qui plus est un week-end de choc entre l'OM et le PSG. En pleine phase de développement à deux ans de son mondial, le rugby français frappe un grand coup, et s'expose en prime time, devant la France entière, dans le plus bel écrin. Alors bien sûr les puristes du rugby à l'ancienne et les chantres de l'esprit de clocher pourront railler les dérives mercantiles et médiatiques du sport moderne et professionnel. Il n'empêche qu'il faut rendre hommage à Max Guazzini, jamais à court d'idée pour faire avancer son sport et l'imposer dans le PAF autant que dans le coeur des gens. Remplir le Stade de France, personne n'y croyait, et pourtant l'enceinte de Saint-Denis sera archi-comble. C'est déjà le premier évènement de la journée.

Au-delà de l'aspect exceptionnel, et sans parler du karaoké géant organisé à la mi-temps, la rencontre entre le Stade Français et Toulouse est aussi et surtout une superbe affiche entre les deux plus grands clubs français depuis 10 ans. Invaincu et leader avec 7 points d'avance sur Bourgoin, Toulouse vient défier son meilleur ennemi sans pression, avec l'envie de jouer et de faire un coup. Pour cela, Guy Novès a choisi de faire tourner son effectif, même si à Toulouse les remplaçants aussi sont internationaux. Jauzion, Elissalde, Nyanga, Hasan, Lamboley ou Bru seront ainsi sur le banc ou en tribunes. Pas question pour autant de "balancer" le match, comme le confirme l'entraîneur rouge et noir dans les colonnes de L'Equipe : «Ce qui se produit poour ce match est phénoménal. Aucun rugbyman en France ne peut cracher sur ce qui va se passer. Nous voulons donner une bonne image du Stade Toulousain, participer à la propagande de notre sport qui est dans une dynamique positive».

Côté parisien, l'enjeu sportif est nettement plus important, puisque les vice-champions de France ne sont que cinquièmes, et une victoire leur permettrait de réintégrer le quatuor de tête, synonyme de demi-finale. Alain Penaud, promu maître à jouer pour ce match capital, devra varier le jeu et surtout ne pas donner de ballons de relance aux trois-quarts toulousains. C'est pour son expérience et sa vista qu'il a été préféré à Hernandez, peu habitué au poste. Pour gagner, le Stade Français devra d'abord mettre la main sur le ballon et soigner sa conquête. On espère aussi qu'il y aura du jeu, le rugby tricolore a besoin d'une vitrine clinquante pour atténuer les effets des nombreuses bagarres qui ont émaillé la 8e journée.

Allez le Stade (toulousain)!
Mettez leur la patée...!!!!!

Toulouse prépare... l'Europe !
11/10/2005

Par SYLVAIN LABBE
De Sports.fr
Fort de sa nouvelle victoire (26-20) face à Biarritz dimanche et de ses sept points d'avance en tête du Top 14, le Stade Toulousain peut aborder en toute décontraction l'énorme rendez-vous face au Stade Français samedi, au Stade de France. Au point que, dans la grande tradition du bluff toulousain, les Stadistes, qui pourraient se présenter dans une composition mixte samedi, affirment être plus concentrés sur leur entrée en Coupe d'Europe dans quinze jours, face à Llanelli, que par leurs retrouvailles avec leurs rivaux parisiens.

Fritz et Thomas seront-ils titulaires au Stade de France? "Maintenant, nous allons tous nous tourner vers la Coupe d'Europe et cette série de bons résultats va nous permettre de le faire sereinement." Ainsi parlait sur le site du Stade Toulousain Cédric Heymans, meilleur marqueur du Top 14 avec six essais, à égalité avec son partenaire Gareth Thomas, à l'issue de la victoire (26-20) acquise dimanche à Ernest-Wallon face aux champions de France biarrots. Un succès assorti d'un nouveau point de bonus offensif – le 4e en huit matches pour les Stadistes ! – qui laisse déjà, alors que l'on n'a pas atteint le tiers du championnat, Bourgoin, le premier poursuivant des Toulousains à... sept points au classement.

De là à d'ores et déjà laisser entendre que les champions d‘Europe, libérés de toute pression vis à vis de leur compétition domestique, sont plus intéressés par la défense de leur couronne continentale, il n'y a qu'un pas que les Toulousains, à l'image de l'ailier international, n'hésitent pas à franchir allègrement. Plus que leur rival parisien, le Stade de France et ses 80 000 spectateurs annoncés, Guy Novès et ses joueurs préfèreraient se concentrer sur l'ouverture de la campagne européenne et la réception de Llanelli le 22 octobre prochain, à Ernest-Wallon. Rejetés du quatuor de tête, les Parisiens, qui après leur revers à Clermont n'ont eux pas le droit à l'erreur à domicile, apprécieront...

Heymans: "Pas une priorité..."

On le sait, et la titularisation surprise de Frédéric Michalak à l'occasion du déplacement à Agen en est la plus récente illustration, les Toulousains ne sont jamais à court lorsqu'il s'agit de jouer le grand bluff. On imagine mal tout de même le Stade Toulousain aligner une équipe mixte à l'occasion d'un tel match, à l'exposition médiatique sans précédent. Pourtant, Guy Novès et son staff l'ont laissé entendre dès la victoire face au BO acquise, de nombreux changements - pas moins de sept ou huit... - pourraient intervenir dans le quinze titulaire samedi à Paris. "Ce déplacement n'est pas vraiment une priorité", avoue même Heymans. Info ou intox? "Prenez le comme vous voulez", lâche l'ailier, toujours sur le site du club, tout heureux de son effet.

La fatigue serait sur le point de rattraper Toulouse et le besoin de faire souffler certains titulaires et de relancer d'autres doublures se ferait sentir. Comme le laissait entendre Fabien Pelous la semaine dernière, cette série d'invincibilité n'est en rien une finalité, elle n'est bien sûr qu'un moyen et l'éventualité d'une impasse à Paris de pointer à l'horizon du Stade de France... La saison dernière, le Stade Toulousain avait déjà laissé filer le déplacement dans la capitale. La perspective de jouer au Parc des Princes, devant 45 400 spectateurs, n'avaient pas empêcher les futurs Champions d'Europe de s'incliner lourdement (40-19).

Après les déplorables écarts disciplinaires qui ont émaillé le dernier week-end, un non-match samedi, face à l'attente que suscite ce match des 3 Stades, serait la pire des nouvelles pour un Top 14 offert à une telle caisse de résonance.

gm0022 a écrit:

Toulouse prépare... l'Europe !
11/10/2005

Par SYLVAIN LABBE
De Sports.fr
Fort de sa nouvelle victoire (26-20) face à Biarritz dimanche et de ses sept points d'avance en tête du Top 14, le Stade Toulousain peut aborder en toute décontraction l'énorme rendez-vous face au Stade Français samedi, au Stade de France. Au point que, dans la grande tradition du bluff toulousain, les Stadistes, qui pourraient se présenter dans une composition mixte samedi, affirment être plus concentrés sur leur entrée en Coupe d'Europe dans quinze jours, face à Llanelli, que par leurs retrouvailles avec leurs rivaux parisiens.

Fritz et Thomas seront-ils titulaires au Stade de France? "Maintenant, nous allons tous nous tourner vers la Coupe d'Europe et cette série de bons résultats va nous permettre de le faire sereinement." Ainsi parlait sur le site du Stade Toulousain Cédric Heymans, meilleur marqueur du Top 14 avec six essais, à égalité avec son partenaire Gareth Thomas, à l'issue de la victoire (26-20) acquise dimanche à Ernest-Wallon face aux champions de France biarrots. Un succès assorti d'un nouveau point de bonus offensif – le 4e en huit matches pour les Stadistes ! – qui laisse déjà, alors que l'on n'a pas atteint le tiers du championnat, Bourgoin, le premier poursuivant des Toulousains à... sept points au classement.

De là à d'ores et déjà laisser entendre que les champions d‘Europe, libérés de toute pression vis à vis de leur compétition domestique, sont plus intéressés par la défense de leur couronne continentale, il n'y a qu'un pas que les Toulousains, à l'image de l'ailier international, n'hésitent pas à franchir allègrement. Plus que leur rival parisien, le Stade de France et ses 80 000 spectateurs annoncés, Guy Novès et ses joueurs préfèreraient se concentrer sur l'ouverture de la campagne européenne et la réception de Llanelli le 22 octobre prochain, à Ernest-Wallon. Rejetés du quatuor de tête, les Parisiens, qui après leur revers à Clermont n'ont eux pas le droit à l'erreur à domicile, apprécieront...

Heymans: "Pas une priorité..."

On le sait, et la titularisation surprise de Frédéric Michalak à l'occasion du déplacement à Agen en est la plus récente illustration, les Toulousains ne sont jamais à court lorsqu'il s'agit de jouer le grand bluff. On imagine mal tout de même le Stade Toulousain aligner une équipe mixte à l'occasion d'un tel match, à l'exposition médiatique sans précédent. Pourtant, Guy Novès et son staff l'ont laissé entendre dès la victoire face au BO acquise, de nombreux changements - pas moins de sept ou huit... - pourraient intervenir dans le quinze titulaire samedi à Paris. "Ce déplacement n'est pas vraiment une priorité", avoue même Heymans. Info ou intox? "Prenez le comme vous voulez", lâche l'ailier, toujours sur le site du club, tout heureux de son effet.

La fatigue serait sur le point de rattraper Toulouse et le besoin de faire souffler certains titulaires et de relancer d'autres doublures se ferait sentir. Comme le laissait entendre Fabien Pelous la semaine dernière, cette série d'invincibilité n'est en rien une finalité, elle n'est bien sûr qu'un moyen et l'éventualité d'une impasse à Paris de pointer à l'horizon du Stade de France... La saison dernière, le Stade Toulousain avait déjà laissé filer le déplacement dans la capitale. La perspective de jouer au Parc des Princes, devant 45 400 spectateurs, n'avaient pas empêcher les futurs Champions d'Europe de s'incliner lourdement (40-19).

Après les déplorables écarts disciplinaires qui ont émaillé le dernier week-end, un non-match samedi, face à l'attente que suscite ce match des 3 Stades, serait la pire des nouvelles pour un Top 14 offert à une telle caisse de résonance.

Encore une coupe pour nous!!

Ricard a écrit:

gm0022 a écrit:

Toulouse prépare... l'Europe !
11/10/2005

Par SYLVAIN LABBE
De Sports.fr
Fort de sa nouvelle victoire (26-20) face à Biarritz dimanche et de ses sept points d'avance en tête du Top 14, le Stade Toulousain peut aborder en toute décontraction l'énorme rendez-vous face au Stade Français samedi, au Stade de France. Au point que, dans la grande tradition du bluff toulousain, les Stadistes, qui pourraient se présenter dans une composition mixte samedi, affirment être plus concentrés sur leur entrée en Coupe d'Europe dans quinze jours, face à Llanelli, que par leurs retrouvailles avec leurs rivaux parisiens.

Fritz et Thomas seront-ils titulaires au Stade de France? "Maintenant, nous allons tous nous tourner vers la Coupe d'Europe et cette série de bons résultats va nous permettre de le faire sereinement." Ainsi parlait sur le site du Stade Toulousain Cédric Heymans, meilleur marqueur du Top 14 avec six essais, à égalité avec son partenaire Gareth Thomas, à l'issue de la victoire (26-20) acquise dimanche à Ernest-Wallon face aux champions de France biarrots. Un succès assorti d'un nouveau point de bonus offensif – le 4e en huit matches pour les Stadistes ! – qui laisse déjà, alors que l'on n'a pas atteint le tiers du championnat, Bourgoin, le premier poursuivant des Toulousains à... sept points au classement.

De là à d'ores et déjà laisser entendre que les champions d‘Europe, libérés de toute pression vis à vis de leur compétition domestique, sont plus intéressés par la défense de leur couronne continentale, il n'y a qu'un pas que les Toulousains, à l'image de l'ailier international, n'hésitent pas à franchir allègrement. Plus que leur rival parisien, le Stade de France et ses 80 000 spectateurs annoncés, Guy Novès et ses joueurs préfèreraient se concentrer sur l'ouverture de la campagne européenne et la réception de Llanelli le 22 octobre prochain, à Ernest-Wallon. Rejetés du quatuor de tête, les Parisiens, qui après leur revers à Clermont n'ont eux pas le droit à l'erreur à domicile, apprécieront...

Heymans: "Pas une priorité..."

On le sait, et la titularisation surprise de Frédéric Michalak à l'occasion du déplacement à Agen en est la plus récente illustration, les Toulousains ne sont jamais à court lorsqu'il s'agit de jouer le grand bluff. On imagine mal tout de même le Stade Toulousain aligner une équipe mixte à l'occasion d'un tel match, à l'exposition médiatique sans précédent. Pourtant, Guy Novès et son staff l'ont laissé entendre dès la victoire face au BO acquise, de nombreux changements - pas moins de sept ou huit... - pourraient intervenir dans le quinze titulaire samedi à Paris. "Ce déplacement n'est pas vraiment une priorité", avoue même Heymans. Info ou intox? "Prenez le comme vous voulez", lâche l'ailier, toujours sur le site du club, tout heureux de son effet.

La fatigue serait sur le point de rattraper Toulouse et le besoin de faire souffler certains titulaires et de relancer d'autres doublures se ferait sentir. Comme le laissait entendre Fabien Pelous la semaine dernière, cette série d'invincibilité n'est en rien une finalité, elle n'est bien sûr qu'un moyen et l'éventualité d'une impasse à Paris de pointer à l'horizon du Stade de France... La saison dernière, le Stade Toulousain avait déjà laissé filer le déplacement dans la capitale. La perspective de jouer au Parc des Princes, devant 45 400 spectateurs, n'avaient pas empêcher les futurs Champions d'Europe de s'incliner lourdement (40-19).

Après les déplorables écarts disciplinaires qui ont émaillé le dernier week-end, un non-match samedi, face à l'attente que suscite ce match des 3 Stades, serait la pire des nouvelles pour un Top 14 offert à une telle caisse de résonance.

Encore une coupe pour nous!!

Un petit bouclier serait pas mal cette année...Un peu marre de voir les autres gagner au SdF...

Ouai et puis il faut leur montrer à ces p**** de parisiens qui c'est les meilleurs...

Novès : "Faire la fête"

A l'inverse de son adversaire du jour, le Stade Toulousain aborde avec sérénité le choc de samedi contre le Stade Français au Stade de France, après avoir gagné le droit de goter pleinement, sans pression, la "fête" annoncée du rugby devant 80.000 personnes.



A ce Stade, il faut gagner

TOP 14 - 9e journée

"On va à Paris pour faire la fête". La boutade cette semaine du manageur Guy Novès traduit l'état d'esprit du club champion d'Europe, à l'heure sur ses objectifs en Top 14 (8 victoires sur 8, 7 points d'avance sur le 2e), un jeu -par moments- déjà au point, et un effectif qui recommence à permettre des rotations.

La préparation d'intersaison avait pour objectif, outre un démarrage pied au plancher, de faire monter les joueurs vers un pic de forme lors des prochains week-ends de Coupe d'Europe. "Là, on est plutôt censés être dans un creux", expliquait sérieusement Jean-Baptiste Elissalde au lendemain de la belle victoire sur Biarritz (26-20), venant après le probant succès à Agen (33-16).

A la veille de se rendre au Stade de France, l'objectif prioritaire du moment -préparer les matches contre Llanelli (22 octobre) et chez les Wasps (30 octobre)- est pleinement assumé à Toulouse. "Cette rencontre tombe bien, reconnaît le co-entraîneur du Stade, Philippe Rougé-Thomas. Elle va nous permettre de préparer la Coupe d'Europe, d'évaluer les joueurs et de donner du temps aux autres", le tout en restant "sur une dynamique de jeu de haut niveau" .

Rotations

Pas question de galvauder "l'événement", pour lequel les Toulousains redoublent d'hommages aux dirigeants du Stade Français. Mais pas question non plus de déroger à la gestion de l'effectif, pour un club en quête du doublé Europe-Championnat, qui voit lentement son infirmerie se désemplir, mais redoute novembre à venir sans ses internationaux.

Fabien Pelous, revenu fin septembre après quatre mois d'absence (genou droit opéré) dit avoir besoin de " travailler, à la fois de temps et de temps de jeu". Le match parisien constitue un palier idéal pour le capitaine du XV de France, rentré en cours de match face au BO, et qui devrait débuter.

Idem pour le pilier Jean-Baptiste Poux, dont Biarritz constituait le premier match après sa pubalgie, tandis qu'Omar Hasan (joueur le plus utilisé avec Jauzion, 555 min de jeu) pourrait être ménagé, comme Nyanga, Finau Maka, ou, derrière, Elissalde, Jauzion ou Poitrenaud (six participations chacun).

"C'est sûr qu'à un moment donné on va avoir besoin d'un break ", reprend Elissalde. "Mais tourner pourquoi, à quel moment ? Nous, on peut donner des informations à nos préparateurs, à nos coaches. C'est à eux de décider". Rotations, luxe d'un peaufinage du jeu sans pression (notamment les périodes d'"absences" émaillant encore les prestations toulousaines), sans oublier le plaisir d'évoluer devant 80.000 personnes: il n'en faudrait pas plus pour dire que le Stade de France arrive au moment idéal pour les Toulousains.

"On n'a pas besoin des points de Paris, on n'y va pas avec un besoin de victoire, mais on y va pour faire un bon match", résume Vincent Clerc, remis de sa blessure à un genou, qui devrait retrouver son aile. "S'il y a échec, il y aura remise en question, ce sera en fonction du jeu produit. Ce sera un grand match de rugby".

A ce Stade, il faut gagner

Malgré la popularité de son initiative, Paris, qui accueillera le leader Toulouse au Stade de France, samedi, l'équipe de la capitale a besoin de se rassurer après un début de championnat mal négocié. Fabien Galthié revient sur les raisons du retard de son équipe et propose de nouveaux choix.



Du spectacle ?
LE CLASSEMENT DU TOP 14

TOP 14 - 9e journée, Stade Français-Stade Toulousain

Quand le Stade Toulousain enfile les victoires (huit sur huit) comme des perles depuis le début du Top 14, le Stade Français a connu un démarrage difficile. Battus à Narbonne et Perpignan, les Parisiens avaient remis les pendules à l'heure en s'imposant à Biarritz lors de la 5e journée. Mais Fabien Galthié n'est toujours pas satisfait. La défaite à Clermont, samedi dernier lui a permis de faire un premier bilan au premier quart du championnat : "On est encore un peu à la traîne, explique-t-il dans L'Equipe. On a attaqué la saison les derniers (1er août), notre talonneur Szarzewski n'est là que depuis trois semaines et Penaud depuis deux semaines."

Mécontent de la rentabilité des ballons glanés par les avants, peu satisfait de l'association Glas-Messina ("pas complémentaires"), Galthié souffre de l'absence de David Skréla et des blessures à répétition de Brian Liebenberg. Poussé à faire des choix radicaux, il titularisera Hernandez à l'ouverture alors qu'il le voyait idéalement placé à l'arrière face à Toulouse.

Derrière, un besoin de stabilité

A la recherche de stabilité, l'ancien demi-de-mêlée a décidé de lancer Alain Penaud parmi les quinze titulaires. L'expérience de cet ancien international de 36 ans, qui a brisé son contrat le liant au LOU (Lyon, pro D2) suffira-telle ? "Ça va un peu vite, constate Galthié sur le site internet du club, mais on l'a intégré doucement la semaine dernière. Il a joué 20 minutes contre Clermont le week-end dernier. Alain Penaud nous offre un nouvelle solution pour construire notre ligne de trois quart. Plusieurs options s'offraient à nous pour composer l'équipe, et on a choisi la solution de le titulariser contre Toulouse."

Avec 126 points concédés en huit rencontres, le Stade Français possède une meilleure défense que le Stade Toulousain, à une vingtaine de points de Biarritz (105, meilleure défense). En s'appuyant sur cette sécurité défensive, les Parisiens devront se montrer inventifs derrière pour bousculer une ligne de trois quarts rouge et noir ébouriffante (273 points inscrits, meilleure attaque, contre 176 points pour Paris).

Prouver que l'on est capable de gagner

Rémi Martin, qui évoquait lundi la défaite à Clermont, sait que l'occasion est belle de marquer les esprits cette saison en dépit des errements du moment : "C'est sûr que pour le capital confiance, le fait d'avoir perdu en Auvergne le week-end dernier, c'est un peu compliqué. Nous allons devoir nous re-concentrer très rapidement pour gommer toutes les imperfections que nous avons commises à Clermont... et Dieu sait qu'il y en a.... Nous devons prouver que nous sommes capable de gagner contre Toulouse au Stade de France devant 80.000 personnes."

Ohlala Galthié c'est comme Lagisquet faut toujours qu'ils se plaignent ces deux là: "il est la que depuis deux semaine il est blessé il va nous manquer plein de joueur pendant la trève internationale ( Tu n'as pas qu'a acheter 18 argentins 7 italiens 12 neozelandais, je parle la pour Galthié)

zyrex31 a écrit:

( Tu n'as pas qu'a acheter 18 argentins 7 italiens 12 neozelandais, je parle la pour Galthié)

Mais c'est ce qu'il fait

gm0022 a écrit:

zyrex31 a écrit:

( Tu n'as pas qu'a acheter 18 argentins 7 italiens 12 neozelandais, je parle la pour Galthié)

Mais c'est ce qu'il fait

Mais c'est clair et après il se plaint