[Départ] Erick Mombaerts

C'est officiel le president Olivier SADRAN confirme que ERICK MOMBAERTS ne sera plus l'entraineur la saison prochaine. Il restera au club et deviendra Directeur general adjoint. Info SUD RADIO.

J'espère que c'est pas u poisson d'avril en retard, toi l'anti EM.

je confirme, j'ai entendu aussi...

j'ai vaguement entendu le mot Formation !

rien sur le site Officiel

Bon ben c'est parti sur la recherche du successeur d'EM...

- Laurent Blanc
- Vahid Hallilodzic
- Guy Lacombe
- Alain Perrin
- Casanova
- Angel Marcos
- Rolland Courbis
- Jean Tigana
- Carlos Bianchi
- X

merci pour l'info ! Bonne chance à lui

Il sera bien Directeur général adjoint et s'occupera de tout le côté sportif (c'est surement pour ça que tu as entendu "formation").

[quote="Doberman] "le successeur d'E.M"[/quote]

Laurent Blanc ??????

Il ne s'est jamais occupé d'une équipe ,même de cadets..Le propulser à la tête d' une équipe pro!

jihaime a écrit:

[quote="Doberman] "le successeur d'E.M"

Laurent Blanc ??????

Il ne s'est jamais occupé d'une équipe ,même de cadets..Le propulser à la tête d' une équipe pro!

Deschamps n'avait jamais entrainé avant Monaco...

Doberman a écrit:

jihaime a écrit:

[quote="Doberman] "le successeur d'E.M"

Laurent Blanc ??????

Il ne s'est jamais occupé d'une équipe ,même de cadets..Le propulser à la tête d' une équipe pro!

Deschamps n'avait jamais entrainé avant Monaco...

Oui Deschamps n'avait jamais entrainé avant Monaco et alors? Est-ce que ça veut dire qu'on peut quand même prendre un entraineur inexpérimenté en croisant les doigts?

J'ai bien peur qu'OS ne le prenne que pour le coup médiatique. Ma réponse est clairement : tout le monde mais pas lui, je préfèrerais JPP qui à la limite a plus d'expérience lol.

anne a écrit:

Doberman a écrit:

Bon ben c'est parti sur la recherche du successeur d'EM...

- Laurent Blanc
- Vahid Hallilodzic
- Guy Lacombe
- Perrin
- Casanova
- Angel Marcos
- Rolland Courbis
- Jean Tigana
- Carlos Bianchi
- X

tu en a deux de bons dans ta liste, deux noms sur lesquels le TFC travaille

Anne tu donnes toujours l'impréssion d'en savoirplus que nous alors STP pourquoi tu nous as pas dit avant que EM s'en allait .
éclaire notre lanterne ...... c'est qui ces 2?????
merci

tu peux deja enlever
- Guy Lacombe
- Perrin
- Angel Marcos
- Rolland Courbis
- Jean Tigana
- Carlos Bianchi

apres les autres sont plus problabe

dans la voiture, j'ai entendu sur sud radio un entretien "exclusif" d'OS

il a dit que c'est lui même et Erik Monbaerts qui allaient choisir le nom du futur entraineur...

il a aussi parlé d'un partenariat avec le FC Barcelone(*), OS n'avait pas le temps de s'en occuper mais qu'EM occupera un poste à plein temps

(*) à la demande de celui-çi

Articles la détresse du midi :

FOOTBALL. LASSÉ PAR LES CRITIQUES ET LE NIVEAU DE JEU DE SON ÉQUIPE, L'ENTRAÎNEUR DU TFC RACCROCHE LES CRAMPONS À LA FIN DE LA SAISON.
Mombaerts quitte le terrain

Il fallait une solution élégante à une situation qui ne l'était pas et elle a été trouvée hier, à l'issue d'un déjeuner entre Olivier Sadran et Erick Mombaerts: l'entraîneur du TFC termine cette saison, mais il intégrera ensuite les arcanes du club avec le titre de directeur général adjoint et conseiller du président.

Le président Sadran nous a fait parvenir un simple communiqué et l'entraîneur n'a pas souhaité s'exprimer. Lassé par les critiques des médias et des spectateurs du Stadium, il tire un trait sur sept années de terrain au TFC, où il est arrivé en 1999 à la demande d'Alain Giresse pour entraîner l'équipe de CFA, puis prendre les rênes du centre de formation en 2000.

AVEC LES PITCHOUNS

Erick Mombaerts est un formidable pédagogue, un «chercheur du football» qui a remarquablement écrit sur le sujet, qui jouit de l'estime de la plupart de ses pairs. Il est le seul (avec Alain Casanova) à ne pas avoir fui le bateau téféciste en 2001, osant l'improbable pari de s'extirper du National avec une bande de gamins et trois pros, William Prunier, Stéphane Lièvre et Christophe Revault.

La fabuleuse histoire des «pitchouns», c'est lui. Et c'est encore lui qui fait repasser son club de l'anonymat du National aux néons de la Ligue 1 en deux saisons à peine. Mais sa troisième saison dans l'élite aura été celle du ras-le-bol, des frustrations en tous genres, des déceptions et de la fatigue. «On banalise le maintien», avait-il coutume de dire ces derniers temps, en sachant que cette saison manquée, la première durant ses fonctions à la tête de l'équipe, pouvait laisser des traces. Elles sont plus profondes qu'on ne l'imaginait

Cet amoureux du jeu, du beau jeu, en mouvement, n'a pas supporté que celui pratiqué par son équipe ne soit pas performant, au point d'accumuler les déconvenues, notamment ces deux derniers mois.

Homme intègre, entraîneur exigeant, toujours à l'affût de ce qui peut améliorer la pratique du football, Erick Mombaerts s'est estimé responsable du manque flagrant de jeu de son équipe depuis plusieurs mois et, aussi, du fait que les objectifs n'étaient pas atteints.

QUATRE MATCHES ET DEUX POINTS...

Il n'est certainement pas le seul responsable. Mais il est le seul, pour l'instant, à avoir pris une décision courageuse. Et digne.

Que signifie-t-elle ? Rien dans l'immédiat, puisque quatre matches de Ligue 1 restent à faire et qu'il manque toujours, sur un strict plan mathématique, deux points au Tef pour disputer sa quatrième saison consécutive dans l'élite.

Les joueurs ont été informés de la décision hier après-midi à l'entraînement, au Stadium, par le président. Certains sont venus apporter leur soutien au coach. D'autres non. C'est ainsi que fonctionne le football et c'est «le prix à payer» pour tout entraîneur que de devoir quitter son poste un jour. Volontairement ou non.

Son remplaçant, sur le nom duquel tout le monde va désormais se pencher puisque la vie est ainsi faite, ne doit pas s'attendre à de grands bouleversements dans le groupe mis à disposition d'Erick Mombaerts cette saison. Cinq joueurs sont en fin de contrat (Douchez, Benvegnu, Arribagé, Lièvre et Fofana). Quelques-uns partiront, d'autres viendront, porteurs d'espoir. Classique.

Erick Mombaerts, lui, s'en va par la grande porte. Ce n'est pas donné à tout le monde.

Patrick Boudreault

Sur sa carte de visite : Zidane, Mexès et les pitchouns

Lorsqu'il se lèvera de son banc, le 13 mai prochain au Stadium contre Sochaux, Erick Mombaers aura dirigé 190 matches du TFC, qui s'ajoutent aux 32 de Cannes, aux 34 de Guingamp et aux 8 du Paris SG (où il fit l'intérim de Gérard Houllier en novembre 1986). Soit 264 matches à la tête d'une équipe professionnelle.

Pour l'instant, son bilan avec le TFC est le suivant: 72 victoires, 52 nuls et 62 défaites.

Mais les chiffres ne comptent guère. Né en 1955 dans le Loiret, Erick Mombaerts a été milieu de terrain à l'INF Vichy, sous les ordres de Pierre Pibarot, à Noeux-les-Mines (D2), sous ceux de Guy Debeugny et Gérard Houllier, et à Montluçon (D2).

A 29 ans, en 1984, il décroche son brevet d'Etat du troisième degré d'entraîneur, ce qui en fait l'un des plus jeunes diplomés de France. Sa carrière d'entraîneur débute en Auvergne où il est conseiller technique régional de 1984 à 1986, se poursuit au centre de formation du Paris SG de 1986 à 1989 où il révèle des joueurs comme Simba et Nouma. Erick Mombaerts prend alors les rênes de Guingamp en D2 pendant une saison puis il rejoint le centre de formation de Cannes, de 1990 à 1994 où il participe, notamment avec Guy Lacombe, à l'éclosion d'un certain... Zidane.

C'est en 1994 qu'il s'installe en Midi-Pyrénées, comme conseiller technique régional de la Ligue, à la demande de William Mitrano. Et c'est à Castelmaurou, où il couve un certain Philippe Mexès, qu'Erick Mombaerts est approché en 1999 par Alain Giresse.

Depuis sept années, le coach s'est investi au TFC. Et dans l'ambitieux projet du président Sadran qui entend bâtir un grand club à Toulouse. Le pari est osé, notamment en raison d'un public exagérement exigeant. Mais il est d'autant plus intéressant à relever. P. B.

Le communiqué du club

«Le TFC a nommé à compter de la saison 2006-2007, Erick Mombaerts en tant que Directeur Général Adjoint, en charge des questions sportives et de formation. Il intègre le comité directeur aux côtés d'Hugues Henry, Directeur Général, Jean-François Soucasse, Directeur Général Adjoint chargé du développement, du marketing et de la communication et d'Ali Rachedi, Directeur sportif. Dans le prolongement de ce qui a été entrepris depuis 2001, Erick Mombaerts sera le conseiller du Président, Olivier Sadran, dans le domaine du sportif et aura en charge les relations avec les clubs partenaires sur différents continents. Cette nomination s'inscrit dans la continuité de ce qu'Erick Mombaerts et Olivier Sadran ont toujours souhaité faire, c'est-à-dire participer à la construction d'un club de qualité à Toulouse.

merci Doberman !

Merci beaucoup!

Doberman a écrit:

Articles la détresse du midi :

FOOTBALL. LASSÉ PAR LES CRITIQUES ET LE NIVEAU DE JEU DE SON ÉQUIPE, L'ENTRAÎNEUR DU TFC RACCROCHE LES CRAMPONS À LA FIN DE LA SAISON.
Mombaerts quitte le terrain

Il fallait une solution élégante à une situation qui ne l'était pas et elle a été trouvée hier, à l'issue d'un déjeuner entre Olivier Sadran et Erick Mombaerts: l'entraîneur du TFC termine cette saison, mais il intégrera ensuite les arcanes du club avec le titre de directeur général adjoint et conseiller du président.

Le président Sadran nous a fait parvenir un simple communiqué et l'entraîneur n'a pas souhaité s'exprimer. Lassé par les critiques des médias et des spectateurs du Stadium, il tire un trait sur sept années de terrain au TFC, où il est arrivé en 1999 à la demande d'Alain Giresse pour entraîner l'équipe de CFA, puis prendre les rênes du centre de formation en 2000.

AVEC LES PITCHOUNS

Erick Mombaerts est un formidable pédagogue, un «chercheur du football» qui a remarquablement écrit sur le sujet, qui jouit de l'estime de la plupart de ses pairs. Il est le seul (avec Alain Casanova) à ne pas avoir fui le bateau téféciste en 2001, osant l'improbable pari de s'extirper du National avec une bande de gamins et trois pros, William Prunier, Stéphane Lièvre et Christophe Revault.

La fabuleuse histoire des «pitchouns», c'est lui. Et c'est encore lui qui fait repasser son club de l'anonymat du National aux néons de la Ligue 1 en deux saisons à peine. Mais sa troisième saison dans l'élite aura été celle du ras-le-bol, des frustrations en tous genres, des déceptions et de la fatigue. «On banalise le maintien», avait-il coutume de dire ces derniers temps, en sachant que cette saison manquée, la première durant ses fonctions à la tête de l'équipe, pouvait laisser des traces. Elles sont plus profondes qu'on ne l'imaginait

Cet amoureux du jeu, du beau jeu, en mouvement, n'a pas supporté que celui pratiqué par son équipe ne soit pas performant, au point d'accumuler les déconvenues, notamment ces deux derniers mois.

Homme intègre, entraîneur exigeant, toujours à l'affût de ce qui peut améliorer la pratique du football, Erick Mombaerts s'est estimé responsable du manque flagrant de jeu de son équipe depuis plusieurs mois et, aussi, du fait que les objectifs n'étaient pas atteints.

QUATRE MATCHES ET DEUX POINTS...

Il n'est certainement pas le seul responsable. Mais il est le seul, pour l'instant, à avoir pris une décision courageuse. Et digne.

Que signifie-t-elle ? Rien dans l'immédiat, puisque quatre matches de Ligue 1 restent à faire et qu'il manque toujours, sur un strict plan mathématique, deux points au Tef pour disputer sa quatrième saison consécutive dans l'élite.

Les joueurs ont été informés de la décision hier après-midi à l'entraînement, au Stadium, par le président. Certains sont venus apporter leur soutien au coach. D'autres non. C'est ainsi que fonctionne le football et c'est «le prix à payer» pour tout entraîneur que de devoir quitter son poste un jour. Volontairement ou non.

Son remplaçant, sur le nom duquel tout le monde va désormais se pencher puisque la vie est ainsi faite, ne doit pas s'attendre à de grands bouleversements dans le groupe mis à disposition d'Erick Mombaerts cette saison. Cinq joueurs sont en fin de contrat (Douchez, Benvegnu, Arribagé, Lièvre et Fofana). Quelques-uns partiront, d'autres viendront, porteurs d'espoir. Classique.

Erick Mombaerts, lui, s'en va par la grande porte. Ce n'est pas donné à tout le monde.

Patrick Boudreault

Sur sa carte de visite : Zidane, Mexès et les pitchouns

Lorsqu'il se lèvera de son banc, le 13 mai prochain au Stadium contre Sochaux, Erick Mombaers aura dirigé 190 matches du TFC, qui s'ajoutent aux 32 de Cannes, aux 34 de Guingamp et aux 8 du Paris SG (où il fit l'intérim de Gérard Houllier en novembre 1986). Soit 264 matches à la tête d'une équipe professionnelle.

Pour l'instant, son bilan avec le TFC est le suivant: 72 victoires, 52 nuls et 62 défaites.

Mais les chiffres ne comptent guère. Né en 1955 dans le Loiret, Erick Mombaerts a été milieu de terrain à l'INF Vichy, sous les ordres de Pierre Pibarot, à Noeux-les-Mines (D2), sous ceux de Guy Debeugny et Gérard Houllier, et à Montluçon (D2).

A 29 ans, en 1984, il décroche son brevet d'Etat du troisième degré d'entraîneur, ce qui en fait l'un des plus jeunes diplomés de France. Sa carrière d'entraîneur débute en Auvergne où il est conseiller technique régional de 1984 à 1986, se poursuit au centre de formation du Paris SG de 1986 à 1989 où il révèle des joueurs comme Simba et Nouma. Erick Mombaerts prend alors les rênes de Guingamp en D2 pendant une saison puis il rejoint le centre de formation de Cannes, de 1990 à 1994 où il participe, notamment avec Guy Lacombe, à l'éclosion d'un certain... Zidane.

C'est en 1994 qu'il s'installe en Midi-Pyrénées, comme conseiller technique régional de la Ligue, à la demande de William Mitrano. Et c'est à Castelmaurou, où il couve un certain Philippe Mexès, qu'Erick Mombaerts est approché en 1999 par Alain Giresse.

Depuis sept années, le coach s'est investi au TFC. Et dans l'ambitieux projet du président Sadran qui entend bâtir un grand club à Toulouse. Le pari est osé, notamment en raison d'un public exagérement exigeant. Mais il est d'autant plus intéressant à relever. P. B.

Le communiqué du club

«Le TFC a nommé à compter de la saison 2006-2007, Erick Mombaerts en tant que Directeur Général Adjoint, en charge des questions sportives et de formation. Il intègre le comité directeur aux côtés d'Hugues Henry, Directeur Général, Jean-François Soucasse, Directeur Général Adjoint chargé du développement, du marketing et de la communication et d'Ali Rachedi, Directeur sportif. Dans le prolongement de ce qui a été entrepris depuis 2001, Erick Mombaerts sera le conseiller du Président, Olivier Sadran, dans le domaine du sportif et aura en charge les relations avec les clubs partenaires sur différents continents. Cette nomination s'inscrit dans la continuité de ce qu'Erick Mombaerts et Olivier Sadran ont toujours souhaité faire, c'est-à-dire participer à la construction d'un club de qualité à Toulouse.

Merci pour l'article Doberman.

J'ai mis en gras 2 remarques interessantes....

Moi je dis merci a MONSIEUR Mombaerts pour tout ce qu il a apporte au club et je pense qu il a pris la bonne décision
On a besoin d'un autre entraineur .....

Plus qu'un merci ce sont des félicitations que mérite Erick :

sans lui le foot pro n'existerait plus à Toulouse.

Les footix du Stadium qui restaient chaudement devant leur télé les soirs de National ou de L2 l'ont oublié ...

ou peut-être ne l'ont-ils même jamais su ...
eux qui avaient fait une croix sur le foot à Toulouse en juin 2001 !!!

Heureusement que certains (Mombaerts et Sadran) ont cru à la possible renaissance du TFC ...
et y sont arrivés avec quelques pros à l'état d'esprit exceptionnel et des pitchouns "ne lâchant rien".

Merci Mr Mombaerts ! Vu le climat actuel et le fait qu'il passe pour le parfait coupable aux yeux de tous ... je comprends bien sa decision meme si c'est dommage.
On verra bien qui sera son remplacant.

Et maintenant que cette annonce est officielle ... on va le voir applaudi au stadium et non essuyé des sifflets non?

sinon moi jveux bien devenir entraineur de toulouse si ca intéresse du monde

Très belle sortie que fait là EM J'apprécie vraiment qu'il reste au sein du club car il ne méritait pas d'être complètement viré après tout ce qu'il a fait pour le club Maintenant, j'espère que le nouvel entraîneur pourra faire gravir un nouvel échelon au tef qui patine depuis 2 saisons